
L'EUCHARISTIE PAR LA SCIENCE
Mission Nouvelle Évangélisation Eucharistique
L' Eucharistie est-elle de la vraie chair et du vrai sang ?
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De nos jours, la science et la technologie prouve que les miracles eucharistiques célébrés lors de la messe, ne sont plus un mystère de Foi seulement pour les catholiques, mais bien un fait réelle de Pain et de Vin changés en Vrai Sang et Vrai Chair, que tout le monde peut constater sans distinction d'origine, de race, d'identité de genre, ou de religion.
Portée du miracle eucharistique constaté par le Pape François alors évêque de Buenos Aires
Article qui décrit les analyses effectuées par le cardiologue et pathologiste new-yorkais,
le Professeur Frédéric Zugibe à la requête de l’Archévêque Jorge Mario Bergoglio, suite à la constatation d'un "miracle eucharistique" à Buenos Aires en 1996.

Ce nouveau miracle Eucharistique bénéficie de la rigueur avec laquelle notre pape François, avant d’avoir reçu la charge pontificale, avait caché normalement la source de l’échantillon.
Ce qui donne à l’analyse indépendante du cardiologue toute sa rigueur.
Le 18 août 1996, à 19 h, le père Alejandro Pezet célébrait la messe dans l’église qui se trouve dans le centre commercial de sa ville. Après la communion, une femme vint lui dire qu’une hostie dont on s’était débarrassé se trouvait au fond de l’église, elle était souillée.
Le prêtre l’a mise dans un petit récipient d’eau et déposa le tout dans le tabernacle.
Le lundi 26 août 1996, 8 jours après, ouvrant le tabernacle, il vit que l’hostie était devenue une substance sanglante et elle avait augmenté de taille.
Il en informa Mgr Jorge Bergoglio qui était alors l’évêque auxiliaire à Buenos Aires.
Celui-ci fit photographier l’Hostie.
Pendant plusieurs années, l’Hostie transformée demeura dans le tabernacle mais dans le plus total secret.
Mgr Bergoglio décida de la faire analyser à New York par le professeur Frédéric ZUGIBA, cardiologue et pathologiste médico-légal réputé. Il détermina que la substance analysée était du véritable sang humain contenant de l’ADN.
Pour ne pas influencer le résultat des examens, le Dr CASTANON n’avait pas indiqué l’origine du prélèvement.
Ce fragment avait été prélevé par le Dr CASTANON de Buenos Aires. Le Dr ZUGIBA déclara : « la matière analysée est un fragment du muscle du cœur qui se trouve dans la paroi du ventricule gauche, près des valves. Ce muscle est responsable de la contraction du cœur.
Ce muscle fonctionne comme une pompe qui envoie le sang dans tous le corps.
Le muscle cardiaque est dans un état d’inflammation et contient un nombre important de globules blancs. Ceci indique que le cœur était vivant au moment où l’échantillon a été prélevé.
J’affirme que le cœur était vivant étant donné que les globules blancs meurent en dehors d’un organisme vivant. Ils ont besoin d’un organisme vivant pour les maintenir.
Donc, leur présence indique que le cœur était vivant quand l’échantillon a été prélevé. Par ailleurs, ces globules blancs avaient pénétré les tissus, ce qui indique d’autant plus que le cœur avait été soumis à un stress intense, comme si son propriétaire avait été battu sévèrement au niveau de la poitrine. »
Ce miracle, est surprenant tout comme le miracle analogue de Lanciano et d’un village voisin en Italie qu’on vénère depuis le Moyen-âge jusqu’à ce jour.
Le Pape François s'est attaché à démontrer la portée spirituelle de l'eucharistie, un instrument de la miséricorde du Seigneur. « Lors de la dernière Cène, Jésus donne son Corps et son Sang, avec le pain et le vin pour nous laisser la mémoire de son sacrifice d’amour infini. Avec ce viatique rempli de grâce, les disciples ont tout le nécessaire pour leur chemin à travers l’histoire, pour étendre le royaume de Dieu. Lumière et force seront pour eux le don que Jésus a fait de lui-même en s’immolant volontairement sur la croix. Et ce Pain de vie est parvenu jusqu’à nous », a rappelé le Pape François.
« Mais il y a un danger, une menace, de se désagréger, de s’avilir, a-t-il averti. Nous nous désagrégeons quand nous ne sommes pas dociles à la Parole du Seigneur, quand nous ne vivons pas la fraternité entre nous, quand nous nous mettons en compétition pour occuper les premières places, quand nous ne trouvons pas le courage de témoigner la charité, quand nous ne sommes pas capables d’offrir l’espérance. »
Le Pape François a donc voulu rappeler au catholiques quelle est leur meilleure antidote :
« L’Eucharistie nous permet de ne pas nous désagréger, parce qu’elle est lien de communion, l’accomplissement de l’Alliance, le signe vivant de l’amour du Christ qui s’est humilié et anéanti pour que nous restions unis. En prenant part à l’Eucharistie et en nous nourrissant d’elle, nous sommes engagés sur un chemin qui n’admet pas les divisions. »
« Et maintenant que signifie aujourd’hui pour nous "s’avilir" ?, a poursuivi le Pape.
Cela signifie se laisser contaminer par les idolâtries de notre temps : paraître, consommer, se mettre soi-même au centre de tout, mais également être compétitif, faire de l’arrogance un comportement gagnant, ne pas reconnaître ses torts ou d’avoir besoin. Tout cela nous avilit, fait de nous des chrétiens médiocres, tièdes et insipides, païens. »
Face à toutes ses dérives et à ces tentations contemporaines, le Pape François a donc voulu rappeler ce qui est à la racine de la foi chrétienne : « Jésus a versé son Sang comme prix pour que nous soyons purifiés de tous les péchés : pour ne pas nous avilir, regardons-Le, abreuvons nous à Sa source, pour être préservés du risque de la corruption.
Et alors nous expérimenterons la grâce d’une transformation : nous resterons de pauvres pécheurs, mais le sang du Christ nous délivrera de nos péchés et nous restituera notre dignité. Sans notre mérite, avec une sincère humilité, nous pourrons porter aux frères l’amour de notre Seigneur et Sauveur. Nous serons ses yeux qui partent à la recherche de Zachée et Madeleine, nous serons sa main qui secourt les malades dans le corps et dans l’esprit ; nous serons son cœur qui aime ceux qui ont besoin de réconciliation, de miséricorde et de compréhension. »
« Ainsi l’Eucharistie actualise l’Alliance qui nous sanctifie, nous purifie et nous unis en communion admirable avec Dieu. Ainsi nous verrons que l’eucharistie n’est pas une récompense pour les bons, mais est la force pour les faibles, pour les pécheurs. C'est le pardon, c’est le viatique qui nous aide à avancer, à cheminer. »
« Aujourd’hui, fête du Corpus Domini, nous avons la joie non seulement de célébrer ce mystère, mais aussi de le louer et le chanter dans les rues de notre ville.
Que la procession que nous ferons à l’issue de la messe, puisse exprimer notre reconnaissance pour tout le chemin que Dieu nous a fait parcourir à travers le désert de nos pauvretés, pour nous faire sortir de la condition d’esclave, en nous nourrissant de son Amour à travers le Sacrement de son Corps et de son Sang. »
